Thérapie du handicap
- Psychologie de l'adolescent -
Prise en charge de l’adolescent de 13 à 18 ans porteur d’un handicap.
Motifs de consultation
Difficultés liées à l’acceptation du handicap
Difficultés liées à l’acceptation de l’autorité parentale et autres
Affects de tristesse et sentiments dépressifs
Troubles d’angoisse et d’anxiété
Problématique liée à l’image et à l’estime de soi
Situations post-traumatiques (perte, deuil, séparation)
Problématiques liées à la sexualité
Comportements violents et troubles d’opposition
Troubles de la scolarité
Difficultés quant à une orientation professionnelle
Questionnement sur le choix d’un milieu de vie
Toute autre problématique en relation avec le handicap
Prise en charge
« La personne handicapée est avant tout une personne; le handicap ne saurait être décisif ou premier. Il n’est pas essentiel mais second, secondaire, accidentel. »
Cette image d’incapacité que la société attribue à un adolescent porteur d’un handicap, ce dernier la fait sienne : «Je ne suis capable de rien», «Jamais je ne pourrai travailler ou trouver l’amour",...
Pourtant, il faut laisser le handicap à sa juste place: entre déni et sur-attribution, reconnaître ses limites, sans se laisser enfermer dedans. Avoir un regard positif et tourné vers le possible. Il n’y pas de solution facile. Mais cela aide de considérer son handicap non pas comme un grand drame insoluble mais bien en le décortiquant en multiples situations-handicaps pour lesquelles il faut soit trouver une adaptation, soit les accepter.
La thérapie proposée s’intéresse aux relations «entre» l'adolescent handicapé et sa famille mais également aux relations que le jeune entretient avec autrui au sein des différents cercles dans lesquels il évolue.
Même si le préalable est que la personne handicapée est un «sujet» au même titre que toute autre personne, il faut néanmoins considérer que le handicap – qui s’est invité de force à la table de la famille – vient bouleverser un certain équilibre chez les parents, les frères et sœurs mais aussi dans la famille au sens large.
Le psychothérapeute rencontre l’adolescent seul mais également avec ses parents, sa fratrie, ses grands-parents et/ou d’autres acteurs du système (école, institution,…). Le but est de mieux comprendre les relations et la fonction du symptôme. Le psychologue pourra ainsi proposer des pistes de changements afin que le système retrouve un nouvel équilibre dans lequel le symptôme n’aura plus besoin de s’exprimer, d’exister.
Informations pratiques
Proposé par
Alain GRANDHENRY, psychothérapeute systémicien.
Monsieur GRANDHENRY - Séance individuelle (60 min): 60 euros.